40.000 enseignants ont demandé la retraite pour échapper à la fin de la proportionnelle

Plus de 40.000 dossiers de départ à la retraite (proportionnelle) ont été déposés par des enseignants au niveau national bien avant la date limite du 31 octobre fixée par le ministère de l’éducation nationale.

Un chiffre choc livré à El Khabar par le président de l’Union nationale des professionnels de l’éducation et de la formation (l’UNPEF), Sadek Dziri qui affirme que "l’hémorragie " pourrait atteindre les 80.000 avant la date de l’expiration du délai.

Une université d’été internationale riche et qui a démontré la dynamique de ce syndicat. Résistance sociale était représenter par son vice président Lucien Jallamion

Le Syndicat national des professeurs de l’enseignement secondaire et technique (SNAPEST) a réitéré mercredi son appel à l’ensemble des enseignants et travailleurs du secteur de l’éducation à prendre part à la grève d’avertissement" prévue les 10 et 11 février 2015.

Quelques Photos de la 3ème université d’été a Mostaganem ou Résistance sociale était représenté par notre vice président Lucien Jallamion

La Porte monumentale de l’entrée de Mostaganem

Gloire aux sacrifices et aux faiseurs d’espoir d’une Algérie libre et démocratique !

Vives les travailleuses et travailleurs

Nous célébrons ce 1 mai fête mondiale des travailleurs en ces moments d’espoir de changement et de mobilisation de toute la classe ouvrière dans le monde du travail.  le SNAPEST s’incline et salue les sacrifices des travailleurs dans le monde du travail de nos militantes et militants et de tous les syndicats et de la société civile et du monde associatif. De l’union nationale et de la fédération des parents d élèves.

Gloire aux sacrifices et aux faiseurs d’espoir d’une Algérie libre moderne et démocratique !

A toutes les femmes du monde à toutes nos mères nos femmes nos sœurs et nos filles à l occasion de ce 8 mars journée de lutte porteuse d’espoir dans ce monde de lutte le snapest appelle ses militantes à plus de mobilisation et à la participation active dans toutes les structures de l’organisation.

Après avoir paralysé durant 7 semaines les secteurs de la santé, de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur, la Confédération des syndicats de la Fonction publique (composé du Syndicat national autonome des professeurs du secondaire et du technique (Snapest), le Syndicat national de l’enseignement supérieur (Cnes), l’Union nationale des personnels de l’éducation et de la formation (Unpef), le Syndicat des praticiens de la santé publique (SNPSP) et le Syndicat algérien des paramédicaux (SAP)) du sud du pays compte revenir à la protestation pour s’élever contre la non-satisfaction complète et entière de leurs revendications.

Ils contestent notamment le traitement « tordu et insuffisant de certains points inclus dans la plateforme des doléances ».

Le problème de la surcharge des classes n’est toujours pas réglé.

Cette année encore, les enseignants vont se retrouver avec des classes de 45 élèves en moyenne. Les formateurs vont revivre le même calvaire que l’année dernière : bruit, manque de concentration, mauvais résultats scolaires et surtout violence des élèves. Tous les syndicats se sont accordés sur le fait que le phénomène de la surcharge des classes tant critiquée l’année dernière n’est pas résolu. Pourquoi ? La majorité des infrastructures prévues pour l’année scolaire 2012-2013 ne sont toujours pas réceptionnées pour la rentrée scolaire 2013-2014. Le Syndicat national autonome des professeurs des enseignants du secondaire et technique (Snapest) par le biais de son secrétaire général, Meziane Meriane, parle d’un taux de 75% des infrastructures éducatives prévues pour cette année et qui ne seront pas réceptionnées. « J’ai appris que100 nouveaux établissements seront opérationnels dès la prochaine rentrée scolaire.

Lucien Jallamion vice président National de Résistance Sociale a participé aux travaux de la 2ème université d’été internationale du Snapest

Résistance Sociale participera à la 2ème ‘université internationale d’été du syndicat SNAPEST /ALGERIE /jijel Du 15 aout 20 aout 2013

La 2 eme Conférence de la Structure interrégionale pour les pays arabe de l’IE [1] pour les pays arabes réuni à Beyrouth, au Liban. cette structure comprend 26 organisations membres de l’IE des pays arabes du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord. »

Dans le cadre de la célébration de cette journée de lutte et d’espoir , le SNAPEST s’incline et salue la mémoire de tous les travailleurs martyrs du monde du travail et salue les sacrifices des militantes et militants algériens de tous les syndicats et de la société civile et du monde associatif.

Nous avons encore en mémoire Taleb Abderhamne , Aissat idir , Abedlehak Benhmouda , Kamel Amezal , ainsi que les onze enseignantes assassinées à Sidi Bel Abbès le 27 septembre 1997 ,sans oublier toutes les autres victimes.

Grève cyclique de trois jours après les vacances scolaires

Le Snapest, qui tente depuis des années de faire aboutir l’épineux dossier des primes des fonctionnaires du Grand-Sud, revient à la charge avec les syndicats de la Fonction publique. Il va jusqu’à avertir d’une menace sur les examens scolaires 2013. Déjà fortement perturbées par la montée au créneau des jeunes chômeurs, les régions du Sud et des Hauts-Plateaux risquent une nouvelle paralysie dans tous les secteurs de la Fonction publique. C’est, du moins, ce qu’annonce un communiqué émanant hier du bureau national du Snapest.

Cheval de bataille de tous les syndicats de l’éducation nationale, le dossier relatif aux doléances des travailleurs des régions du Sud et des Hauts-Plateaux n’a toujours pas été solutionné.

Le Snapest, qui a été le premier syndicat à plaider cette cause, a tiré la sonnette d’alarme sur les conséquences de la non-prise en charge des revendications des travailleurs de ces régions.

Le snapest condamne fermement l’acte délibéré de terrorisme perpétré contre les travailleurs en Algérie .

Le snapest condamne "fermement" l’attaque et la prise d’otages par un groupe terroriste sur le site gazier de Tiguentourine (40 km d’In Amenas), dans la wilaya d’Illizi.

Les professeurs d’enseignement technique ont tenu hier une conférence de presse au siège du Syndicat national autonome des professeurs du secondaire et du technique (Snapest) afin d’expliquer toutes les problématiques que soulève la suppression de cet enseignement.

M. Meziane Meriane, SG du Snapest, nous a indiqué que cette suppression s’était opérée en 2003 suite à la nouvelle réforme du secteur. Selon ce responsable, cet enseignement est un support essentiel dans l’amélioration de la productivité et de la compétitivité du pays, notamment des PME.

Une réunion a eu lieu le 18 12 2012 au siège du SNPSP elle sera suivie d’un point de presse prévu le 22 12 2012 à Alger au siège UNPEF à partir de 12h00

Hakim Hammad avec Khaled Keddad, Dziri Sadek, Lyes Merabet, Mohamed Yousfi, Meziane Meriane, Achour Hadjam, Achour Hadjem, Rouani Djamel et Doc Chibane Lors de cette réunion à été acté le regroupement de ses 2 organisations au seins d’une même entité qui deviendra la Confédération des Syndicats Autonomes le 22 décembre 2012

Joint par téléphone, Meziane Meriane, secrétaire général du Snapest déplore : « Nous avons passé une journée marathon sans aucun résultat apparent.

La rencontre qui a regroupé jeudi dernier le ministre de l’Education nationale et les sept syndicats du secteur n’a rien apporté de nouveau. Joint par téléphone, Meziane Meriane, secrétaire général du Snapest déplore : « Nous avons passé une journée marathon sans aucun résultat apparent. Cette situation a duré plus de deux ans et à chaque fois qu’on nous promet de régler les problèmes des enseignants, rien n’a été réalisé concrètement. »

La réunion s’est déroulée les 9 et 10 juillet en Jordanie, rassemblant 44 participantes provenant de 22 affiliés de l’IE.

Plusieurs séances de travail ont permis aux membres de faire le point sur la condition des enseignantes dans chaque pays. Les participantes ont partagé des informations à propos des défis et des meilleures pratiques pour améliorer le rôle des femmes arabes au sein des syndicats.

Message de Solidarité avec Les syndicalistes de la région de Sfax

Résistance Sociale remercie le SNAPEST pour son invitation à participer aux travaux de son université d’été et de l’accueil fait à notre délégation constituée de Lucien Jallamion, vice-président de Résistance Sociale et Denis Durand, Maire de Bengy-sur-Craon qui a été enseignant coopérant à Mostaganem.

Voir ICI l’intervention de Lucien Jallamion (qui n’est pas, contrairement à ce qu’indique le commentaire un "syndicaliste de la CGT" !)

Résistance Sociale souhaite bon courage au SNAPEST et lui exprime tous ses voeux de réussite pour ses combats présents et à venir !

Mai 1886, mai 2012 plus d’une centaine d’années déjà ; à travers le monde le premier mai est une journée de lutte internationale des travailleuses et travailleurs, chez nous le premier mai est loin d’être une fête de travail mais une journée chômée et payée sans plus.

En ce premier mai 2012 le snapest tient à souhaiter à tous les ouvrières et ouvriers une excellente fête du travail dans la dignité légendaire de notre pays.

MESSIEURS LES RESPONSABLE DE ODT MONSIEUR LE RESPONSABLE DE L EDUCATION DU MAROC HONORABLE ASSISTANCE

Nous vous saluons chaleureusement. Votre modestie voudra bien souffrir que nos premières paroles soient adressées à l’organisation démocratique du travail ODT pour avoir accepter l’organisation de ce congrès , ainsi que pour l’accueil si chaleureux légendaire du peuple frère marocain. Il m’échoit l’insigne honneur d’adresser aux noms des milliers des syndiqués du snapest (syndicat national autonome des professeurs d’enseignement secondaire et technique d’Algérie) et en mon nom personnel nos salutations les plus chaleureuses aux représentants de la FSM et aux délégations syndicales de notre continent l’AFRIQUE.

Les syndicats autonomes de l’éducation nationale restent sceptiques quant aux négociations menées avec la tutelle autour de l’élaboration du statut particulier. Même si la plupart d’entre eux n’ont pas fixé de date précise, un mouvement de contestation se prépare d’ores et déjà, afin d’imposer leurs « légitimes » revendications.

Le Conseil des lycées d’Algérie (CLA) a, pour sa part, annoncé une grève à partir de la deuxième semaine de la reprise scolaire, soit au cours de la deuxième quinzaine du mois d’avril. Contacté par Le Temps d’Algérie hier, le porte-parole du syndicat, Achour Idir, a fait savoir que des contacts sont menés avec d’autres syndicats du secteur afin de créer un espace de convergence syndicale et pour s’entendre sur une plateforme consensuelle de revendications, comme cela a déjà été le cas en 2004, après la création de l’intersyndicale de l’éducation, à l’initiative du grand syndicaliste défunt Osmane Redouane.

Le bureau national s est réuni le samedi 29 octobre 20011, pour étude des derniers développements sur le dossier des œuvres sociales. Le bureau national est désemparé devant l’attitude ambiguë de notre tutelle concernant ce dossier en effet :

Apres une réunion d un mois au lycée ben taftifa, mars 2011 entre tous les syndicats aucun consensus ne s’est dégagé concernant ce dossier, la feuille de route du ministère de l éducation stipulait que si il n y a aucun accord. Le ministère de l éducation prendra ses responsabilités, c est chose faite le mois d’août 2011, avec une directive 667 transmise à toutes les directions de l’éducation dans le sens que la gestion des œuvres sociales se fera au niveau de chaque établissement scolaire par une commission qui sera élue par une assemblée générale de l établissement composée de tous les fonctionnaires et agents sans distinctions.

Le conseil national réuni en session extraordinaire le vendredi 14 octobre 2011 Pour étude du dernier procès verbal constate avec amertume que :

— les primes de nos camarades enseignants du sud sont toujours calculées par rapport à L ancien salaire de base

— les rappels de la correction apportée aux primes seront versés après 18 mois

— revirement dans les décisions de notre tutelle concernant les œuvres sociales.

Le conseil national décide :

— de ne pas parapher ce procès verbal.

— - la continuité de la grève pour la journée du dimanche 16 octobre 2011, avec la tenue des assemblées générales dans les établissements, en attendant la décision du bureau national qui va entériner les décisions des assemblées générales.

Les membres de 5 syndicats autonomes algériens du secteur de l’éducation ont observé lundi 10 octobre une grève nationale pour des revendications socio-professionnelles.

Selon Meziane Meriane, du Syndicat national autonome des professeurs de l’enseignement secondaire et technique (Snapest) la grève serait suivie à 90% dans les lycées, les collèges et écoles primaires.

Nous célébrons cette fête mondiale des travailleurs ce 1 mai 2011 porteur, en ces moments, d’espoir, de changement et de mobilisation de toute la classe ouvrière du monde du travail.

Blida le 14 avril 2011

Le conseil national du syndicat national autonome des professeurs d’enseignement Secondaire et technique s.n.a.p.e.s.t s’est tenu le 14-15 avril 2011 au lycée ben taftifa de Blida, en présence des délégués de 36 wilayas, L’ordre du jour à porter sur

1—évaluation des travaux du congrès tenu à Jijel le 26-27-28 mars 2011

2--- évaluation des travaux de la commission œuvre sociale

3--- évaluation des travaux commission mixte ministère de l’éducation- s n a p e s t Sur les problèmes particuliers des enseignants du sud.

4---rapport des wilayas.

5---divers.

Le Syndicat national autonome des personnels de l’administration publique (Snapap) appelle les travailleurs de la Fonction publique à observer mercredi une grève nationale. Dans une conférence de presse animée hier au siège du Snapap à Bab Ezzouar, M. Felfoul, secrétaire général de l’organisation syndicale, a estimé que cette initiative, qui mobilisera plus de 382 753 travailleurs de la fonction publique, est la seule manière permettant à cette frange de la société d’afficher son « mécontentement » quant à ses conditions socioprofessionnelles jugées « précaires ».

Ces conditions ont été au cœur d’un débat lors du conseil national du syndicat, organisé la semaine dernière à Constantine.

DECLARATION

Le bureau national s’est réuni en session extra ordinaire pour analyser la situation nationale et internationale.

Un article de « Marianne » du 21 janvier 2011 s’intitule « L’Europe malade de l’austérité ». Il est curieux que cet hebdomadaire réduise cette portée à l’Europe car aujourd’hui c’est bien l’ensemble du monde capitaliste qui est malade de l’austérité, qui en fait, est l’autre nom du capitalisme mondialisé.

La Tunisie en est le parfait exemple. Tout le monde a en tête « l’excellente » intervention de DSK en 2008 (en ligne sur www.politique.net) : après avoir été fait Grand Officier de l’Ordre de la République par Ben Ali, DSK n’a que louanges à la bouche pour « la politique économique saine » de la Tunisie, il l’érige même en « exemple pour tous les pays émergents » et la félicite au nom du FMI, même s’il lui demande de pousser encore plus en avant son intégration économique, « seul moyen d’être à l’abri des crises extérieures » (sic !). Il va même plus loin, puisqu’il termine ses propos en assurant aux Tunisiens que, grâce à cette politique et malgré la crise, la Tunisie pourra « continuer à fonctionner très correctement ».

Le bureau national du S.N.A.P.E.S.T s’est réuni le 9 janvier 2011, suite aux évènements tragiques que vit notre pays.

Le bureau national comprend la fureur de notre jeunesse et désapprouve les actes de vandalisme sur nos écoles, lycées, hôpitaux et édifices publics biens des pauvres.

Pour le bureau national, la responsabilité incombe aux pouvoirs publics amnésiques, arrogants et aveugles devant une révolte dont les signes avant-coureurs existent et sont :

 verrouillages des libertés en général et syndicales en particulier ;

 absence de dialogue et de concertation sociale ;

 inflation galopante et incontrôlée, érodant le pouvoir d’achat ;

 les citoyennes et les citoyens se désintéressent ostensiblement de la chose publique, convaincus que de toute façon cela ne change rien ;

 harragas : l’Europe ou la mort est le choix douloureux de notre jeunesse.

Le bureau national du S.N.A.P.E.S.T s’incline devant la mémoire des victimes de cette révolte et demande des mesures politiques concrètes en plus des mesures sociales longuement revendiquées.

POUR LE BUREAU NATIONAL LE COORDINATEUR NATIONAL MONSIEUR MERIANE MEZIANE

De violents affrontements ont opposé de jeunes manifestants aux forces de l’ordre dans plusieurs villes algériennes mercredi soir, après une hausse de produits alimentaires en début d’année. Revue de presse.

Des émeutes ont éclaté ce mercredi [5 janvier] dans plusieurs quartiers d’Alger (Bab El Oued, Casbah, Laquiba, Bachdjarah) où des dizaines de jeunes ont manifesté contre la récente flambée des prix de plusieurs produits alimentaires de base (sucre, huile et farine) rapporte Le Soir d’Algérie repris sur le site [Algeria Watch- http://www.algeria-watch.de/fr/article/eco/soc/hausses_nouvelle_annee.htm]. Des jeunes appellent à de nouvelle manifestations ce jeudi annonce le site Le quotidien d’Algérie qui a mis en ligne plusieurs vidéo des émeutes.

Le syndicat national autonome des professeurs de l’enseignement secondaire et technique (Snapest) a déploré le fait que plusieurs revendications de l’ordre socio-professionnelles ne sont jusqu’à l’heure actuelle prises en charge par le ministère de l’Education nationale.

Ainsi donc, et devant cet état de fait, cet organisme syndical appelle le ministère de tutelle à ouvrir les portes de dialogue dans les plus brefs délais, pour connaître le devenir des préoccupation des enseignants de Sud.

Le bureau national du SNAPEST s’est réuni le mardi14 septembre 2010 pour discuter de l’évaluation de la rentrée scolaire et sociale. Le bureau national constate avec amertume, l’absence de l’autorité de l’état face aux spéculateurs de tout bord, qui fait que les pères de famille ne savent pas à quel saint se vouer. Face à la paupérisation croissante et pour atténuer la fronde sociale les pouvoirs publiques ont crées la compensation des prix, malheureusement mal maîtrisée elle n’arrive toujours pas aux véritables nécessiteux.

A titre d’exemple en 2007-2008 les statistiques économiques donnent 10 milliards de dollars pour la compensation des prix qui n’est qu’une mesure de gestion facile. La croissance économique hors hydrocarbure n’est toujours pas aux rendez-vous, alors que c’est elle qui peut assurer une justice sociale et la stabilité de notre société.

A l’initiative du Snapest et du CNES, l’Union nationale des syndicats autonomes (UNSA) vient de voir le jour. Des rencontres préliminaires sont programmées, depuis hier, pour définir la charte et rassembler les syndicats intéressés, dont sept ont déjà donné leur accord de principe.

Les explications de Méziane Meriane Secrétaire Général du Snapest Source

8 mars : Sans laïcité pas d’égalité !

Cette année, le 8 mars revêt une importance symbolique toute particulière. Nous en commémorons le centenaire depuis que Clara Zetkin, leader emblématique du combat des femmes a décidé d’en faire un évènement de portée universelle. Depuis, les luttes féminines se sont élargies à toute la planète et ont investi tous les domaines de la vie.

Le tribunal de Birmandreis a refusé d’enregistrer les plaintes introduites par le RCD contre :

 le premier ministre pour diffamation après qu’il eut traité de ‘’traitres’’ celles et ceux qui ont dénoncé le viol de la constitution et l’instauration de la présidence à vie.

 le candidat Bouteflika pour abus des biens de l’État pendant la campagne électorale ayant précédé le scrutin du 09 avril 2009.

L´ intolérable mépris !

Des référendums pour tromper le monde, des élections nationales et régionales, alibis démocratiques du viol constitutionnel à la mascarade présidentielle, la coupe du mépris est pleine et bien pleine !

Mépris à l´encontre des citoyens, mépris à l´encontre de l´opinion internationale, sans parler du piétinement des « alliés », des courtisans et pseudo-outsiders à la course aux « présidentielles ».

L´objectif de ce rassemblement est de sensibiliser les travailleurs sur leur situation socioprofessionnelle.

L´Intersyndicale de la Fonction publique persiste et maintient toujours ses revendications. Après un répit de quelques semaines, le mouvement syndical remonte au créneau.

Ils réclament la reconnaissance de leur statut d’enseignants

Les enseignants hospitalo-universitaires n’ont pas assuré leurs cours durant les journées du 10 et 11 février, dans les facultés de médecine de Tunis, de Sousse, de Monastir et de Sfax, ainsi que dans les facultés de pharmacie et de médecine dentaire de Monastir. Ils n’ont pas également, prodigué les soins non urgents dans les Centres Hospitalo-universitaires durant la journée du 11.

Pour un boycott massif, actif, et pacifique.

Pour une dynamique nouvelle de convergence des forces démocratiques autour d’une plate-forme commune !

Vers des actions plus musclées

Après leur grève de deux jours initiés par le Conseil des lycées d’Algérie (Cla) qualifiée de réussie, selon les initiateurs de cet acte revendicatif, cet organe syndical prévoit d’entreprendre des actions plus musclées et plus radicales. Ainsi, le Cla a évoqué d’aller vers une grève ouverte, si, affirme l’orateur, les syndicats autonomes de la fonction publique sont d’accord. Le taux de suivi de ce mouvement de protestation, a été évalué à 33% au niveau de dix wilayas (Alger, Béjaïa, Tizi-Ouzou, Boumerdès, Bouira, Blida, Sétif, et Constantine…), indique le chargé de l’information et de la communication au sein du Cla, Idir Achour.

Le 5 février, une cour d´appel tunisienne a confirmé la condamnation et les peines prononcées contre des ouvriers et des syndicalistes en décembre 2008 dans l´affaire des manifestations de Gafsa. Ces derniers s’étaient pourvus en appel.

Les dirigeants syndicaux Adnan Hajji et Bechir Laabidi ainsi que 36 autres personnes étaient accusés d´avoir pris la tête d´un mouvement de protestation qui a eu lieu début 2008 dans le sud-est de la Tunisie, précisément dans la région de Gafsa, riche en phosphate. Ils faisaient partie des centaines de personnes qui avaient été arrêtées.

ENSEIGNANTES, ENSEIGNANTS :

L’année 2008 vient de s’achever avec en prime la surdité irresponsable des pouvoirs publics face aux différents avertissements qu’ont constitués les mouvements de grève unitaires ou sectoriels. Malgré le mécontentement engendré par la grille des salaires et le statut particulier de l’éducation, ces mêmes pouvoirs se cantonnent dans leurs discours menaçants et méprisants.

L’Algérie traverse une des périodes les plus sombres de son histoire. Le bilan du terrorisme islamiste est particulièrement lourd. Les statistiques font état de dizaines de milliers de morts. Les ravages du terrorisme cependant, ne se réduisent pas à une simple chronique macabre. L’Algérie aura à gérer les conséquences désastreuses de ce terrorisme, à savoir les séquelles psychologiques occasionnées par la barbarie à laquelle celui-ci a eu recours dans ses méthodes d’extermination de la population.

A côté de cela, la situation sociale et économique du pays est indescriptible.