Comme aux dernières « élections » législatives et communales de 2007, les citoyens se sont abstenus en masse et le maquillage scandaleux des chiffres s’appuyant sur la vieille ficelle « plus c’est gros, plus ça passe » ne peut cacher ni la réalité des résultats ni la désaffection profonde de la société par rapport au pouvoir algérien. Au nom de quoi le pouvoir s’arroge t-il le droit de violer la constitution, d’imposer toujours son candidat et d’engloutir des sommes faramineuses dans toutes sortes de dépenses à son profit exclusif ?
Pour lire la suite du communiqué, cliquez sur le document joint